Eau blanche
Eau résiduaire produite au cours de la fabrication du papier ou eau provenant du nettoyage des locaux et des équipements des salles de traite, laiteries ou fromageries.
Eau résiduaire produite au cours de la fabrication du papier ou eau provenant du nettoyage des locaux et des équipements des salles de traite, laiteries ou fromageries.
Part de l'eau issue des précipitations atmosphériques qui s'écoule dans les cours d'eau jusqu'à la mer, ou qui est recueillie dans les lacs, les aquifères ou les réservoirs. L'
Eau qui est appliquée sur les sols afin d'augmenter leur contenu en eau et de pourvoir à la croissance normale des plantes.
Eau contenue dans de grands réservoirs qui permettent de corriger l'assiette du bateau et l'équilibrer. Les eaux de ballast posent problème lors de la vidange (déballastage), car des espèces vivant dans une partie du monde sont rejetées dans une autre zone, créant ainsi des perturbations écologiques. Avec la croissance des échanges internationaux, et tout particulièrement celle du transport maritime transocéanique, des problèmes apparaissent du fait de cet apport d'organismes vivants étrangers à l'environnement local. Désormais, des systèmes de traitement biologique et chimiques doivent traiter ces volumes d'eau, afin de limiter l'échange d'espèces invasives.
Eau des océans et des mers, caractérisée par une salinité et une densité plus élevées que celles de l'eau douce.
Eau de pluie s'écoulant sur la surface du sol.
Eau issue de nappes souterraines non polluées, profondes ou protégées des rejets dus aux activités humaines. Elle est naturellement propre à la consommation humaine.
Selon le Code de la santé publique, "eau d'origine souterraine, micro-biologiquement saine et protégée contre les risques de pollution. A l'émergence et au cours de la commercialisation, elle respecte ou satisfait les limites ou références de qualité, portant sur des paramètres microbiologiques et physico-chimiques, définies par arrêté des ministres chargés de la consommation et de la santé."
Eau qui s'écoule ou qui stagne à la surface de l'écorce terrestre (lithosphère). Les eaux de surface comprennent les eaux de surface continentales (cours d'eau, plans d'eau, canaux, réservoirs), à l'exception des eaux souterraines, et les eaux littorales (eaux côtières et eaux de transition).
Portion de cours d'eau classée dans le domaine public de l'État, dont l'entretien lui incombe mais qui peut être délégué aux régions ou départements.
Eau utilisée par l'homme pour ses besoins domestiques (cuisine, toilettes, salles de bain, etc.).
Eau que sa faible teneur en sels rend apte au captage destiné à diverses utilisations, en particulier à l'irrigation et à l'alimentation humaine. Les limites de teneurs en sels entre eau douce, eau saumâtre et eau salée ne sont pas fixées avec rigueur et peuvent varier suivant les législations. Cependant les eaux marines ont des teneurs en sels allant en général de 10 à 38 g/l suivant les arrivées d'eau douce par les fleuves, mais présentent parfois des teneurs beaucoup plus élevées, comme en Mer Morte (jusqu'à 260 g/l).
Eau regroupant les eaux de sources et les eaux minérales, chacune ayant des exigences réglementaires spécifiques définies dans le Code de la santé publique.
Eau utilisée dans le cadre d'une installation industrielle (eau de procédé, de refroidissement).
Espace maritime n'appartenant pas un État an particulier. En tant que tel, il n'est soumis à aucune juridiction nationale et relève de la communauté internationale. Les eaux internationales représentent les deux tiers de la surface océanique terrestre.
Eau issue des précipitations atmosphériques qui n'a pas encore touché la surface terrestre.
Eau de source dont la composition en éléments minéraux permet une utilisation thérapeutique.
Eau naturelle microbiologiquement saine provenant d’une nappe ou d’un gisement souterrain exploité à partir d’une ou plusieurs émergences naturelles ou forées. Elle témoigne d’une stabilité de ses caractéristiques essentielles, notamment de composition (teneur en minéraux, oligoéléments, etc.) et de température à l’émergence, qui n’est pas affectée par le débit de l’eau prélevée. Elle se distingue des autres eaux destinées à la consommation humaine :
Selon la circulaire n° DGS/EA4/2008/30 du 31 janvier 2008 relative à la sécurité sanitaire des eaux minérales, une eau minérale est une eau possédant un ensemble de caractéristiques qui sont de nature à lui apporter ses propriétés favorables à la santé. Elle témoigne, dans le cadre des fluctuations naturelles connues, d'une stabilité de ses caractéristiques essentielles, notamment de composition et de température à l'émergence, qui n'est pas affectée par le débit de l'eau prélevée.
Portion de cours d'eau non classée dans le domaine public de l'État. Sont considérés comme privés les cours d'eau qui ne sont ni navigables, ni flottables, les ruisseaux, les torrents ou les petites rivières.
Eau peu ou pas polluée pénétrant dans les réseaux d'égouts. Elle perturbe fortement le fonctionnement des stations d'épuration.
Eau qui, après avoir touché le sol ou une surface, ruisselle sur les surfaces la réceptionnant. Les eaux pluviales sont généralement issues des eaux de pluie, mais aussi des eaux provenant de la fonte des neiges, de la grêle ou de la glace tombant ou se formant naturellement sur une propriété, ainsi que les eaux d'infiltration.
Eau propre à la consommation, ne contenant aucun germe pathogène. L'eau prélevée directement dans le sol ne peut pas toujours être bue telle que. Elle doit être contrôlée et éventuellement purifiée avant d'être distribuée chez l'usager.
Eau ayant été soumise à un traitement des eaux usées et livrée à un utilisateur en tant qu'eaux usées récupérées. Il s'agit de la fourniture directe d'effluents traités à l'utilisateur. Les eaux usées rejetées dans un cours d'eau et utilisées en aval ne sont pas prises en considération, pas plus que le recyclage au sein de sites industriels.
Quantité d'eau (en m3) ou de substances (en kg DBO/jour ou comparable) ajoutée/lessivée dans un cours d'eau à partir d'une source ponctuelle ou diffuse.
Eau dont la teneur en sels est sensiblement inférieure à celle de l'eau de mer.
Eau immobile dans certaines parties d'un cours d'eau, d'un lac ou d'une autre formation aquatique.
Eau contenue dans le sol disponible pour les plantes.
Eaux superficielles ou souterraines telles qu'elles se présentent dans le milieu naturel avant d'avoir été traitée en vue d'un usage. Ce sont des eaux usées non traitées.
Eaux non chargées en pollution, présentes en permanence dans les réseaux d'assainissement public . Ces eaux sont d'origine naturelle (captage de sources, drainage de
Eaux de surface situées entre la ligne de base servant pour la mesure de la largeur des eaux territoriales et une distance d'un mille marin.
Eaux de surface terrestres ou parties de celles-ci (zone d'un plan d'eau,...), courantes ou stagnantes, et eaux marines, dans lesquelles la baignade est expressément autorisée par les autorités compétentes dans la mesure où elles satisfont à des normes européennes, et n'est pas interdite et habituellement pratiquée par un nombre important de baigneurs.
Eaux de surface situées à proximité des embouchures de rivières ou de fleuves, qui sont partiellement salines en raison de leur proximité des eaux côtières mais qui restent fondamentalement influencées par des courants d'eau douce.
Eaux usées domestiques issues des douches, des baignoires, des lavabos et éviers, des lave-linge et lave-vaisselle.
Toutes les eaux stagnantes et les eaux courantes à la surface du sol ainsi que toutes les eaux souterraines, et ceci en amont de la ligne de base servant pour la délimitation des eaux territoriales.
Toutes les eaux se trouvant sous la surface du sol en contact direct avec le sol ou le sous-sol et qui transitent plus ou moins rapidement (jour, mois, année, siècle, millénaire) dans les fissures et les pores du sol en milieu saturé ou non.
Eaux ayant été utilisées par l'homme. On distingue généralement les eaux usées d'origine domestique, industrielle ou agricole. Ces eaux sont rejetées dans le milieu naturel directement ou par l'intermédiaire de système de collecte avec ou sans traitement. On parle également d'eaux résiduaires.
Ensemble des eaux usées produites dans l'habitat constituées des eaux grises et des eaux vannes.
Eaux qui sont rejetées ou produites au cours de processus de production industrielle et qui n'ont pas de valeur immédiate pour ces processus. Dans les cas où des systèmes de recyclage de l'eau existent, les eaux usées industrielles correspondent au volume d'eau finalement rejeté par ces circuits. Pour satisfaire aux normes de qualité requises en vue d'un éventuel rejet dans les égouts publics, il est entendu que ces eaux sont soumises à un traitement sur site. Pour les besoins du présent questionnaire, les eaux de refroidissement ne sont pas considérées comme des eaux usées industrielles. Les eaux usées sanitaires et les eaux pluviales collectées sur les terrains industriels sont également exclues de la présente catégorie.
Somme des eaux polluées par l'ajout de déchets ou de chaleur (exprimée en mètres cubes - m3) et des substances (pollution en kg DBO/jour ou comparable) ajoutées aux eaux usées. Ces eaux peuvent être issues d'une…
Eaux usées rejetées par une station d'épuration (appelées également effluents). Les installations de traitement englobent les stations d'épuration des eaux usées urbaines, les autres stations de traitement des eaux usées et les stations autonomes.
Eaux usées domestiques ou mélange des eaux usées domestiques et des eaux usées industrielles et/ou des eaux de ruissellement.
Eaux usées domestiques issues des toilettes, générées lors de l'évacuation des fèces et des urines et qui, par conséquent, contiennent une forte concentration en matières organiques et en micro-organismes.
Terme générique définissant la démarche de spécification du Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) relative à l'Échange de données informatisé entre commanditaires et prestataires (préleveurs et laboratoires d'analyses) du domaine de l'eau.
Echange d'eau dans un sens ou dans l'autre entre une nappe et un cours d'eau. Suivant le niveau de la ligne d'eau, et les saisons, la nappe alimente le cours d'eau ou est alimentée par celui-ci, notamment lors des inondations. Dans le cas de karst ces relations sont importantes et localisées.
Animal marin caractérisé par une symétrie radiaire d'ordre cinq, protégé, selon les espèces, par des spicules calcaires ou plaques calcifiées plus ou moins développés. Les échinodermes regroupent les astéries (étoiles de mer), les crinoïdes (lys de mer), les oursins, les holothuries (bêches de mer ou concombres de mer) et les ophiures. Ils sont pourvus de « pieds » tubulaires et sont capables de se déplacer (très) lentement.
Sas limité des deux côtés par les bajoyers (murs) et, à l'avant et à l'arrière, par des portes permettant le passage entre deux niveaux d'eau différents.
Outil d'évaluation des impacts environnementaux (consommation de matières et d'énergies, émissions dans l'air et dans l'eau, déchets), prenant en compte l'ensemble du cycle de vie des produits, de leur fabrication à leur élimination finale. L'écobilan fournit des éléments d'aide à la décision pour les politiques publiques (choix de filières de valorisation, critères d'écolabellisation des produits, etc.) ou industrielles …
Comportement individuel ou collectif consistant à observer les principes et les règles destinées à préserver l'environnement.
Science des interactions entre les organismes vivants (l'homme y compris) et le milieu, ainsi que des organismes vivants entre eux.
Organisation d'activités économiques et sociales recourant à des modes de production, de consommation et d'échange fondés sur l'écoconception, la réparation, le réemploi et le recyclage, et visant à diminuer les ressources utilisées ainsi que les dommages causés à l'environnement.
Concept économique qui s'inscrit dans le cadre du développement durable et dont l'objectif est de produire des biens et des services tout en limitant la consommation et le gaspillage des matières premières, de l'eau et des sources d'énergie. Il s'agit de déployer une nouvelle économie, circulaire, et non plus linéaire, fondée sur le principe de « refermer le cycle de vie » des produits, des services, des déchets, des matériaux, de l'eau et de l'énergie.
Ensemble des actions menées pour lutter contre le gaspillage de l'eau, de son prélèvement jusqu'à son utilisation. Un des objectifs de l'économie d'eau est l'utilisation de l'eau de manière rationnelle.
Branche de l'économie qui traite d'un point de vue théorique des relations entre les sociétés humaines et l'eau, notamment dans le cadre des politiques économiques relatives à l'eau, tant sur sa consommation que son utilisation et sa tarification.
Branche de l'économie qui traite d'un point de vue théorique des relations entre les sociétés humaines et l'environnement, notamment dans le cadre des politiques économiques environnementales.
Produit qui génère moins d'impact sur l'environnement tout au long de son cycle de vie que d'autres produits d'usage similaire. La notion d'écoproduit est ainsi une notion relative.
Entité géographique présentant une homogénéité des caractéristiques géologiques, climatiques et topographiques, et par conséquent une homogénéité supposée du fonctionnement écologique. Classiquement utilisée pour les écosystèmes terrestres et la compréhension des associations de végétation, les écorégions peuvent être appliquées aux écosystèmes aquatiques, on parle alors d'hydroécorégions.
Ensemble des êtres vivants (la biocénose), des éléments non vivants et des conditions climatiques et géologiques (le biotope) qui sont liés et interagissent entre eux et qui constitue une unité fonctionnelle de base en écologie. L'écosystème d'un milieu aquatique est décrit généralement par : les êtres vivants qui en font partie, la nature du lit et des berges, les caractéristiques du bassin versant, le régime hydraulique, et la physico-chimie de l'eau.
Ecosystème spécifique des milieux aquatiques décrit généralement par : les êtres vivants qui en font partie, la nature du lit et des berges, les caractéristiques du bassin versant, le régime hydraulique, et les propriétés physico-chimiques de l'eau.
Prélèvement fiscal opéré sur un bien, un service ou une activité en raison des dommages qu'ils sont susceptibles d'occasionner à l'environnement.
Capacité d'une substance, du fait de sa toxicité, de produire des effets nuisibles ou incommodants pour des micro-organismes, des animaux, des plantes, ou pour l'homme par le biais de l'environnement.
Science qui étudie l'impact des substances chimiques sur les écosystèmes. Elle prend en compte d'une part le devenir des substances dans l'environnement (phénomènes de dégradation biotique et abiotique) et d'autre part les effets toxiques ou l'écotoxicité des substances, et les mécanismes par lesquels s'effectue la pollution de la biosphère.
Science qui étudie les conséquences écologiques de pollutions physiques, chimiques ou biologiques à l'échelle des communautés microbiennes et sur les nombreuses fonctions qu'elles assurent dans les écosystèmes, ainsi que le rôle des microorganismes dans la dynamique des polluants (source, transfert, dégradation, transformation). L'écotoxicologie mMicrobienne (EcotoxicoMic) est une science en émergence qui répond à une forte demande politique et sociétale en relation avec des préoccupations environnementales (
Fait pour un fluide de se déplacer en suivant un itinéraire préférentiel.
Action visant à diminuer le débit maximum de la rivière pendant une crue. Certains barrages sont spécifiquement conçus à cet effet.
Action consistant à limiter le débit de pointe d'une crue, soit par stockage dans un ouvrage spécifique, soit par extension des zones d'expansion des crues.
Influence du revenu sur une donnée. Par exemple, les personnes plus riches ont généralement un consentement à payer plus important que les personnes plus pauvres.
Eau usée ou déchet liquide rejeté dans le milieu par une source de pollution, quelle qu'elle soit (industrie, activité agricole, navire, en opération ou non, etc.).
Conduite étanche souterraine qui recueille les eaux usées d'une agglomération et les évacue vers une station d'épuration pour rejoindre ensuite le milieu naturel. L'expression « tout à l'égout » est fausse : tout ne peut pas être rejeté dans les réseaux (solvants, White spirit, ...) au risque de perturber le bon fonctionnement de la station d'épuration.
Action consistant à enlever de façon sélective des branches sur un arbre afin d'orienter ou de limiter son développement.
Pourcentage de variation de la consommation d'eau si l'on augmente de 1% le prix du m3. De manière générale, l'élasticité des consommations domestiques d'eau est très faible, car la plupart des utilisations (eau de boisson, hygiène, etc.) sont très peu compressibles. En revanche, la consommation extérieure (arrosage, lavage de voitures, etc.) est beaucoup plus élastique (forte baisse en cas de hausse de prix) car elle satisfait des besoins non essentiels.
Vue partielle de l'état des eaux, qui donne lieu à des opérations de contrôle, dont les résultats sont utilisés par un processus d'évaluation pour calculer des indicateurs de qualité. L'élément de qualité est décrit par un
Se dit d'éléments que l'on retrouve en quantité très faible.
Volume d'eau utilisée à tous les stades de la chaîne de production d'un produit (installation, bien ou service). L'empreinte en eau est également sa « teneur en eau virtuelle ». Par exemple, pour produire une tasse de café, il faut au total 140 litres d'eau ; pour un kilo de boeuf, il en faut 16 m³ (16.000 litres). Au final, l'empreinte en eau est le volume total d'eau (exprimé en litre ou m3) utilisée directement et indirectement dans le cadre d'une activité et de celles qui y sont liées, en ce compris l'eau utilisée dans la chaîne d'approvisionnement.
Energie cinétique d'une masse d'eau en mouvement. Cette énergie est calculée de la manière suivante : poids volumique de l'eau par le débit Q (en m3.s-1) X pente S. L'énergie potentielle (EP) d'un cours d'eau est l'énergie de ce cours d'eau en crue, calculée pour le
Energie de la marée que l'on peut capter en utilisant les courants de marée pour faire tourner des roues ou des turbines. On peut citer comme exemple les moulins à marée existant depuis le Moyen Age, mais aussi l'usine marémotrice de la Rance en Ille-et-Vilaine.
Technique d'enneigement utilisant une neige de culture produite artificiellement en projetant dans un air à température négative de minuscules gouttelettes d'eau qui vont geler avant de retomber au sol.
Démarche administrative par laquelle un organisme public (l'État, une mairie, une collectivité...) invite le public à donner son avis sur un projet d'aménagement. Les avis sont collectés par un Commissaire enquêteur, qui émet ensuite un avis motivé. Cet avis sert ensuite à réaliser une étude d'impact. Les enquêtes publiques sont par définition consultables par le public, et pendant le temps de la consultation, toujours modifiables par les associations et autres groupements publics.
Idée générale, abstraction que l'on considère comme une réalité. Une entité est la modélisation d'un objet réel ; il s'agit par exemple d'une « station », d'un « point de prélèvement »... Les dictionnaires de données établis par le Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (
Nom générique qui représente un regroupement de systèmes aquifères et de domaines hydrogéologiques.
Dépôt de fins sédiments, constitués de particules de roches et de limon ou d'argile. L'envasement est une forme de sédimentation avec de la vase. Les cours d'eau transportent quelques millions de mètres cubes de sédiments chaque année. Leur dépôt provoque l'envasement de ces cours d'eau, des canaux, et des
Augmentation de la teneur en matière sèche des boues sans modifier le caractère liquide de la boue. L'épaississement de boue peut se faire simplement par voie gravitaire dans un concentrateur ou par des moyens mécaniques (égouttage, flottation ou centrifugation).
Action consistant à répandre une matière solide ou liquide sur une surface (effluents d'élevage, amendements, engrais, produits phytosanitaires, boues de station d'épuration, etc.).
Action consistant à répandre des eaux usées chargées en matière organique sur une surface, de manière à les épurer par percolation dans le sol tout en alimentant les sols pauvres en matières organiques.
Action consistant à répandre des déjections animales sur une surface, de manière à la fertiliser. Dans les déjections animales, les effluents bovins sont largement dominants et se présentent surtout sous forme de fumiers. Le lisier concerne une partie des effluents bovins et la quasi-totalité de la production porcine. Les déjections avicoles, ou fientes, dont l'effet fertilisant est puissant, peuvent représenter localement des tonnages importants.
Opération qui consiste à répandre des boues (boues d'épuration, de curage,...) à la surface du sol, en vue de leur dégradation biologique par les micro-organismes du sol et/ou de son utilisation par la flore ou la culture présente sur ce sol. La réglementation fixe les règles applicables à l'épandage des boues issues du traitement des eaux usées. L 'épandage des boues est soumis à autorisation ou à déclaration.
Ouvrage établi suivant un certain angle dans un cours d'eau pour fixer la forme de son lit.
Action de rendre propre (pur) en éliminant les impuretés présentes. Processus destiné à réduire ou supprimer les éléments polluants dans l'eau. Une station d'épuration (station d'épuration - STEP - ou station de traitement des eaux usées - STEU) est un établissement dans lequel se fait l'épuration des eaux usées. L'épuration peut également être naturelle bien que plus lente (auto-épuration).
Matériel ou infrastructure servant au prélèvement, stockage, traitement, distribution ou transfert d'eau.
Quantité de toxicité qui, dans 1 m3 d'eau, immobilise, au bout de 24 heures, 50 % des daphnies (micro-crustacés d'eau douce) présentes.
Unité d'évaluation de la pollution organique des eaux représentant la quantité de matière organique rejetée par jour et par habitant. Cette unité de mesure permet de comparer facilement des flux de matières polluantes. Parmi les paramètres caractérisant une pollution, celle traitée dans les stations de traitement des eaux usées est quantifiée par l'équivalent- habitant. L'équivalent-habitant est défini, par l'article R2224-6 du Code général des collectivités territoriales, comme la charge organique biodégradable ayant une demande biochimique d'oxygène en cinq jours (DBO5) de 60 grammes d'oxygène par jour.
Ensemble des phénomènes qui enlèvent des matériaux à la surface d'une roche ou d'un sol, le plus souvent par la pluie, le vent et les vagues. Elle peut être d'origine physique, chimique voire biologique.
Phénomène naturel, généralement provoqué par le courant, participant au transport de la charge solide et à la recharge sédimentaire du cours d'eau. Les érosions de berges sont à l'origine des migrations de
Amincissement de la couche arable d'un champ sous l'effet des forces érosives naturelles de l'eau et du vent, ou sous l'effet des activités agricoles, comme le travail du sol. L'érosion du sol abaisse la productivité de la terre et contribue à la pollution des cours d'eau, des terres humides et des lacs adjacents.
Mécanisme d'enfoncement du font du lit se propageant vers l'aval. Le point de départ d'une érosion progressive est une intervention, souvent d'origine humaine, provoquant un déficit de matériaux alluvionnaires (construction d'un barrage ou d'un
Terme générique désignant d'une façon générale l'espace construit en fond de vallée par le dépôt des alluvions d'une rivière. Au sens large, il inclue les différents milieux et zonages associés: lit mineur, lit majeur, espace de liberté, annexes, etc.
Espace du lit majeur à l'intérieur duquel le ou les chenaux fluviaux assurent des translations latérales permettant la mobilisation des sédiments ainsi que le fonctionnement des écosystèmes aquatiques et terrestres.
Espace du lit majeur à l'intérieur duquel le lit mineur peut se déplacer, conformément à l'arrêté du 24/01/2001 relatif à l'exploitation des carrières. Le cours d'eau étant un système dynamique, mobile dans l'espace et dans le…
Ensemble de tous les individus semblables ayant en commun des caractères morphologiques et physiologiques héréditaires et qui sont capables de se reproduire entre eux en engendrant des individus. Des espèces se ressemblant mais incapables de se reproduire entre elles appartiennent au même genre.
Une espèce exotique envahissante est une espèce exotique, dite aussi allochtone ou non indigène, dont l'introduction par l'homme, volontaire ou fortuite, sur un territoire menace les écosystèmes, les habitats naturels ou les espèces indigènes avec des conséquences écologiques, économiques et sanitaires négatives.
Il s'agit d'un taxon (espèce, sous-espèce, etc.) appartenant au règne du vivant (par exemple une espèce animale ou végétale), introduit par l'homme en dehors de son
Les législations actuelles prennent également en considération les…
Espèce qui a réussi à s'installer de façon définitive dans une région géographique qui n'est pas la sienne à l'origine.
Espèce dont la disparition entraînerait un changement supérieur au changement induit par n’importe quelle autre espèce présente dans ce même écosystème.
Espèce en danger ou vulnérable ou rare ou endémique (c'est à dire propre à un territoire bien délimité) énumérée soit à l'annexe II de la directive "habitats, faune, flore" et pour lesquelles doivent être désignées des zones spéciales de conservation, soit aux annexes IV ou V de la directive "habitats, faune, flore" et pour lesquelles des mesures de protection doivent être mises en place sur l'ensemble du territoire.
Qualifie les espèces en danger, vulnérables, rares ou remarquables répondant aux cotations mises en place par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) ou extraites des livres rouges publiés nationalement ou régionalement, mais aussi les espèces protégées nationalement, régionalement ou faisant l'objet de réglementations européennes ou internationales lorsqu'elles présentent un intérêt patrimonial réel au regard du contexte national ou régional, ainsi que les espèces ne bénéficiant pas d'un statut de protection ou n'étant pas inscrites dans des listes rouges, mais se trouvant…
Se dit d'un taxon lorsque les meilleures données disponibles indiquent qu'il est confronté à un risque "très élevé" d'extinction à l'état sauvage.
Espèce à répartition géographique restreinte et bien définie.
Espèce présente, du fait de l'influence de l'homme, dans des zones situées hors de son aire de répartition naturelle et de son aire de dispersion potentielle.
Selon le règlement européen n°1143/2014, "tout spécimen vivant d'une espèce, d'une sous-espèce ou d'un taxon de rang inférieur d'animaux, de végétaux, de champignons ou de micro-organismes introduit en dehors de son aire de répartition naturelle, y compris toute partie, gamète, semence, oeuf ou propagule de cette espèce, ainsi que tout hybride ou toute variété ou race susceptible de survivre et, ultérieurement, de se reproduire".
Espèce exotique dont l’introduction par l’homme, volontaire ou fortuite, sur un territoire menace les écosystèmes, les habitats naturels ou les espèces indigènes avec des conséquences écologiques, économiques et sanitaires négatives.
Espèce, sous-espèce ou taxon de rang inférieur, introduit hors de son aire de répartition naturelle, passée ou présente. L'introduction ou la propagation menace la diversité biologique. La définition inclue toutes les parties, graines, œufs ou propagules d'espèces de ce type qui pourraient survivre et se reproduire.
Selon le réglement européen n°1143/2014, "espèce exotique dont l'introduction ou la propagation se révèle constituer une menace pour la biodiversité et les services écosystémiques associés, ou avoir des effets néfastes sur la biodiversité et lesdits services".
Espèce retenue pour caractériser l'état écologique fonctionnel des cours d'eaux français : la truite commune (fario) pour les milieux salmonicoles (eaux fraîches courantes généralement de montagne ou proches des reliefs), le brochet pour les milieux cyprinicoles (rivières lentes de plaine), et l'ombre ou les cyprinidés d'eaux vives (barbeau, vandoise...) pour les milieux intermédiaires. Ces espèces…
Espèce mentionnée dans la Liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), pouvant appartenir aux espèces en danger critique d'extinction, aux espèces en danger ou aux espèces vulnérables.
Espèce animale ou végétale qui évolue au sein des zones de son aire de répartition naturelle passée ou présente et de son aire de dispersion potentielle. Elle n'a donc pas été importée ni transplantée.
Espèce introduite rencontrant des conditions écologiques favorables à son implantation durable dans le temps pouvant y établir des populations de façon autonome et intégrée à l'écosystème.
Espèce dont le domaine vital est assez large pour que sa protection assure celle des autres espèces appartenant à la même communauté.
Espèce végétale ou animale bénéficiant d'un statut de protection légale pour des raisons d'intérêt scientifique ou de nécessité de préservation du patrimoine biologique.
Partie terminale d'un fleuve, de forme évasée et où la mer remonte. C'est une zone de mélange entre eaux douces et eaux marines. Ce mélange induit un gradient très important des propriétés physico-chimiques des eaux, variable dans l'espace et dans le temps.
Regroupement de communes ayant pour objet l'élaboration de projets communs de développement au sein de périmètres de solidarité. Ces regroupements sont soumis à des règles communes, homogènes et comparables à celles des collectivités locales. Les communautés urbaines, communautés d'agglomération, communautés de communes, syndicats d'agglomération nouvelle, syndicats de communes et syndicats mixtes sont des établissements publics de coopération intercommunale.
Groupement de collectivités territoriales constitué à l'échelle d'un bassin versant d'un fleuve côtier sujet à des inondations récurrentes ou d'un sous-bassin hydrographique d'un grand fleuve en vue d'assurer, à ce niveau, la prévention des inondations et des submersions ainsi que la gestion des cours d'eau non domaniaux. Cet établissement comprend notamment les collectivités territoriales et les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre compétents en matière de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations. Son action s'inscrit dans les principes de solidarité territoriale, notamment envers les zones d'expansion des crues, qui fondent la gestion des risques d'inondation.
Groupement de collectivités territoriales constitué en vue de faciliter, à l'échelle d'un bassin ou d'un groupement de sous-bassins hydrographiques, la prévention des inondations et la défense contre la mer, la gestion équilibrée de la ressource en eau, ainsi que la préservation et la gestion des zones humides. L'établissement public territorial de bassin (EPTB) peut également contribuer à l'élaboration et au suivi du schéma d'aménagement et de gestion des eaux. Il assure par ailleurs la cohérence de l'activité de maîtrise d'ouvrage des établissements publics d'aménagement et de gestion de l'eau.
Espace vertical du domaine benthique marin où les conditions écologiques, fonctions de la situation par rapport au niveau de la mer, sont sensiblement constantes ou varient régulièrement entre deux niveaux critiques marquant les limites de l'étage. Les étages benthiques ont chacun des peuplements caractéristiques et leurs limites sont révélées par un changement de ces peuplements au voisinage des niveaux critiques marquant les conditions limites des étages intéressés.
Espace compris entre la limite de l'étage infralittoral (limite inférieure de vie de la majorité des algues pluricellulaires) et la profondeur à laquelle la photosynthèse devient impossible en raison d'une lumière trop faible. La profondeur de l'étage circalittoral, en général une centaine de mètres, dépend de la plus ou moins grande
Partie du littoral jamais découverte par la mer. Elle s'étend depuis la zone de balancement des marées vers le large, jusqu'à ce que la profondeur de l'eau devienne trop importante pour permettre la pénétration de la lumière.
Espace compris entre la limite de marée la plus basse (basse mer de vives eaux) et la limite compatible avec la vie des plantes à fleur marines et des algues pluricellulaires, à environ quelques dizaines de mètres de profondeur. Cet étage est colonisé par des organismes qui exigent une immersion continue.
Opération consistant à établir la courbe de tarage d'un appareil d'acquisition de données ne fournissant pas une mesure directe de la grandeur recherchée.
Plan d'eau d'origine naturelle ou artificielle, de faible profondeur sans stratification thermique stable. Il est alimenté essentiellement par son bassin pluvial, et est généralement caractérisés par une forte productivité végétale et animale (poissons, batraciens, reptiles, oiseaux sédentaires et migrateurs...).
Plan d'eau d'origine naturelle en liaison plus ou moins directe avec la mer et les eaux continentales, ce qui lui confère une salinité comprise approximativement entre 2 et 20 °/°°.
Appréciation de la qualité d'une eau sur la base des concentrations en polluants incluant notamment les substances prioritaires. L'état chimique comporte deux classes : bon et médiocre. Le bon état chimique d'une eau de surface est atteint lorsque les concentrations en polluants ne dépassent pas les normes de qualité environnementale. Le bon état chimique d'une eau souterraine est atteint lorsque les concentrations de polluants ne montrent pas d'effets d'entrée d'eau salée, ne dépassent pas les normes de qualité et n'empêchent pas d'atteindre les objectifs pour les eaux de surface…
Pour un habitat, effet de l'ensemble des influences agissant sur un habitat naturel ainsi que sur les espèces typiques qu'il abrite, qui peuvent affecter à long terme sa répartition naturelle, sa structure et ses fonctions ainsi que la survie à long terme de ses espèces typiques sur le territoire. Pour une espèce, effet de l'ensemble des influences qui, agissant sur l'espèce, peuvent affecter à long terme la répartition et l'importance de ses populations sur le territoire.
Au sens de la directive cadre sur l'eau (DCE), analyse d'ensemble du bassin ou groupement de bassins, balayant trois aspects : les caractéristiques du bassin ou groupement de bassins, les incidences des activités humaines sur l'état des eaux, et l'analyse économique de l'utilisation de l'eau. L'état des lieux vise notamment à préparer l'élaboration ultérieure du
Appréciation de la structure et du fonctionnement des écosystèmes aquatiques associés aux eaux de surface. Il s'appuie sur ces critères appelés éléments de qualité qui peuvent être de nature biologique (présence d'êtres vivants végétaux et animaux), hydromorphologique ou physico-chimique. L'état écologique comporte cinq classes : très bon, bon, moyen, médiocre et mauvais. Pour chaque type de masse d'eau, il se caractérise par un écart aux conditions de références (conditions représentatives d'une eau de surface pas ou très peu influencée par l'activité humaine). Le « très bon » état écologique est défini par de très faibles écarts dus à l'activité humaine par rapport aux conditions de référence du type de masse d'eau considéré. Le « bon » état écologique est défini par de faibles…
État d'un site et des milieux avant l'implantation d'une installation industrielle ou d'un aménagement.
Appréciation de l'équilibre entre, d'une part, les prélèvements et les besoins liés à l'alimentation des eaux de surface, et d'autre part, la recharge naturelle d'une masse d'eau souterraine. L'état quantitatif comporte deux classes : bon et médiocre. Le bon état quantitatif d'une eau souterraine est atteint lorsque les prélèvements ne dépassent pas la capacité de renouvellement de la ressource disponible, compte tenu de la nécessaire alimentation des écosystèmes aquatiques de surface, des sites et zones humides directement dépendants.
Période de plus basses eaux des cours d'eau et des nappes souterraines (généralement l'été pour les régimes pluviaux).
Débit exceptionnellement faible d'un cours d'eau, ou exacerbation de ses basses eaux (parfois assimilé aux basses eaux saisonnières). L'étiage est ainsi considéré comme une période limitée dans l'année où les débits passent en dessous d'une valeur seuil, propre à chaque cours d'eau et calculée statistiquement.
Technique de restauration écologique d'un sol consistant à en prélever une couche superficielle pour réduire sa teneur en matières organiques et favoriser ainsi l'installation d'espèces pionnières, végétales ou animales. L'étrépage est une technique appliquée particulièrement à des milieux pauvres en nutriments, tels que les pelouses naturelles et les landes. L'étrépage se distingue du décapage, qui est pratiqué plus profondément et à des fins de dépollution.
Etude dont les modalités, la nécessité et les dénominations suivant l'importance du projet (étude d'impact, notice d'impact) sont fixées par des règles définies dans les décrets (en application de la loi de la protection de la nature du 18 juillet 1976). L'étude d'impact consiste à identifier les facteurs liés à un projet d'aménagement pouvant avoir des effets plus ou moins importants sur l'environnement, permettant ainsi…
Enrichissement excessif des cours d'eau et des plans d'eau en éléments nutritifs, essentiellement le phosphore et l'azote qui constituent un véritable engrais pour les plantes aquatiques. Elle se manifeste par la prolifération excessive des végétaux dont la décomposition provoque une diminution notable de la teneur en oxygène. Il s'en suit, entre autres, une diversité animale et végétale amoindrie et des usages perturbés (alimentation en eau potable, loisirs,...).
Transformation progressive subie par l'eau, passant de l'état liquide à l'état gazeux, grâce à un apport d'énergie (chaleur, soleil,...).
Phénomène par lequel les végétaux perdent de l'eau sous forme de vapeur transférée vers l'atmosphère.
Emission de la vapeur d'eau résultant de deux phénomènes : l'évaporation, qui est un phénomène purement physique, et la transpiration des plantes. La recharge des nappes phréatiques par les précipitations tombant en période d'activité du couvert végétal peut être limitée. En effet, la majorité de l'eau est évapotranspirée par la végétation. Elle englobe la perte en eau due au climat, les pertes provenant de l'évaporation du sol et de la transpiration des plantes.
Lieu où se produit une activité agricole (élevage ou culture).
Unité économique et de production qui répond simultanément à trois conditions : l'unité a une activité agricole, atteint ou dépasse une certaine dimension (superficie, nombre d'animaux, production...) et est soumise à une gestion courante indépendante.
Selon le règlement européen (UE) 2018/1091 du Parlement européen et du Conseil du 18 juillet 2018 concernant les statistiques intégrées sur les exploitations agricoles, une exploitation agricole est une unité individuelle, d'un point de vue technique et économique, qui a une gestion unique et qui exerce des activités économiques dans le domaine de l'agriculture, conformément au règlement (CE) no 1893/2006, relevant des groupes A.01.1, A.01.2, A.01.3, A.01.4, A.01.5 ou du «maintien des terres agricoles dans de bonnes conditions agricoles et environnementales» du groupe A.01.6 sur le territoire économique de l'Union, en tant qu'activité primaire ou secondaire. En ce qui concerne les activités de la classe A.01.49, seules les activités suivantes sont incluses: «élevage d'animaux semi-domestiqués ou d'autres animaux vivants» (à l'exception de l'élevage d'insectes) et «apiculture et production de miel et de cire d'abeille».
Cours d'eau par lequel se déversent vers la partie aval d'un bassin fluvial les eaux d'un lac ou de toute autre zone humide occidentale.
Terme générique définissant un échange d'informations sur des réseaux d'informations d'origines diverses selon des spécifications ou des normes.
Fraction représentative d'un objet, d'un ensemble.
Selon la circulaire n° 12/DE du 28 avril 2008 - Annexe IV, fraction d’un prélèvement qui est envoyé à un laboratoire afin d’en effectuer des analyses. Il peut être constitué de plusieurs flacons (1 échantillon = n flacons pour faire p analyses sur q paramètres).
Ensemble des activités mises en œuvre pour assurer la production, la reproduction et l’entretien des animaux dits domestiques et utiles afin d’en obtenir différents produits ou services.