Barrage de navigation
Ouvrage destiné à assurer un niveau d'eau suffisant et relativement horizontal pour permettre la navigation. Il peut être fixe ou mobile.
Ouvrage destiné à assurer un niveau d'eau suffisant et relativement horizontal pour permettre la navigation. Il peut être fixe ou mobile.
Animal vertébré qui a la particularité de commencer sa vie dans l'eau. A la naissance, un amphibien respire par ses branchies, comme un poisson. Devenu adulte, il est désormais doté de poumons par lesquels il peut respirer l'air librement, mais il continue d'absorber l'essentiel de l'oxygène dont il a besoin par la peau.
Barrage constitué d'une succession de fermettes (charpentes métalliques pliables) reliées par une passerelle et supportant chacune une partie mobile - l'aiguille - pouvant être levée ou baissée.
Massif de terre construit en travers du lit d'un cours d'eau pour créer une retenue d'eau. C'est le type de barrage le plus simple et le plus ancien. Ses pentes doivent être suffisamment douce pour assurer la stabilité et la terre doit être suffisamment imperméable (par exemple, de l'argile).
Ouvrage construit sur un cours d'eau et destiné à créer une retenue d'eau pour assurer une production constante d'électricité. L'eau accumulée dans le réservoir est acheminée par des conduites à l'usine de production électrique.
Barrage plutôt ancien, constitué d'un bloc de matériau solide (béton ou maçonnerie) suffisamment lourd pour résister à la pression exercé par l'eau.
Ouvrage permettant le stockage d'eau pour le soutien d'étiage ou l'alimentation des canaux.
Ouvrage de rétention des eaux dans le sous-sol.
Barrage de conception complexe, fin, résistant à la pression de l'eau en s'arc-boutant sur les flancs rocheux d'une vallée. Les barrages voute sont particulièrement adaptés aux vallées étroites.
Opération visant à abaisser le niveau d'eau et à augmenter les débits d'évacuation pour entrainer une partie des sédiments retenus par un barrage. La chasse de barrage consiste en l'ouverture des
Action d'enlever des terres ou des décombres pour niveler ou abaisser le sol.
Type d'embouchure fluviale caractérisé par un fort alluvionnement à une altitude très proche de celle de la surface de l'eau et formant à l'état naturel une plaine marécageuse.
Modification artificielle, temporaire ou définitive, du tracé d'un cours d'eau, dérivant totalement ou partiellement le montante concept" typeof="skos:concept" class="linked" property="skos:label" xmlns:skos="http://www.w3.org/2004/02/skos/core#">flux d'eau.
Action consistant à enlever de façon sélective des branches sur un arbre afin d'orienter ou de limiter son développement.
Dépôt de fins sédiments, constitués de particules de roches et de limon ou d'argile. L'envasement est une forme de sédimentation avec de la vase. Les cours d'eau transportent quelques millions de mètres cubes de sédiments chaque année. Leur dépôt provoque l'envasement de ces cours d'eau, des canaux, et des
Amincissement de la couche arable d'un champ sous l'effet des forces érosives naturelles de l'eau et du vent, ou sous l'effet des activités agricoles, comme le travail du sol. L'érosion du sol abaisse la productivité de la terre et contribue à la pollution des cours d'eau, des terres humides et des lacs adjacents.
Branche de l'hydraulique ayant pour objet l'étude de l'écoulement des crues et la protection contre les inondations. Elle intervient dans l'étude des canaux de navigation, le calibrage des rivières pour la protection des berges, le maintien d'un chenal navigable ainsi que l'aménagement et la construction d'ouvrages hydraulique, comme les digues, les seuils.
Ouvrage reliant deux points séparés par un cours d'eau, une vallée ou tout autre obstacle.
Ouvrage ou levée de matériaux rapportés, généralement destiné à assurer une continuité de niveau pour un ouvrage.
Branche de la mécanique des fluides qui concerne les mouvements des fluides, qu'ils soient liquides ou gazeux. L'hydrodynamique s'intéresse aux propriétés des fluides, notamment la vitesse, la viscosité, la densité, la pression et la température, en fonction de l'espace et du temps.
Somme due par tout propriétaire d'un ouvrage qui constitue un obstacle continu entre les deux rives d'un cours d'eau (à l'exception des ouvrages faisant partie d'installations hydroélectriques assujetties à la redevance pour prélèvement sur la ressource en eau, ou dont la dénivelée est inférieure à 5 m, ou implantés sur les cours d'eau dont le débit moyen interannuel est inférieur à 0,3 m3/s au droit de l'obstacle).
Portion de croûte terrestre sur laquelle s'est déposée, ou se déposent encore, de nombreuses couches de sédiments, produits de l'altération de roches préexistantes. Au cours du temps, l'accumulation importante de sédiments entraîne l'enfoncement de la zone de dépôt, et permet l'amoncellement de nouvelles couches formant alors un bassin sédimentaire.