Transport fluvial
Mode de transport de marchandises ou d'hommes qui utilise les réseaux national et international des voies navigables.
Mode de transport de marchandises ou d'hommes qui utilise les réseaux national et international des voies navigables.
Transport de marchandises ou d'hommes à travers les mers et océans via différents moyens de navigation (bateaux).
Fleuve, rivière ou canal aménagé et équipé pour la circulation et le transport fluvial.
Eau contenue dans de grands réservoirs qui permettent de corriger l'assiette du bateau et l'équilibrer. Les eaux de ballast posent problème lors de la vidange (déballastage), car des espèces vivant dans une partie du monde sont rejetées dans une autre zone, créant ainsi des perturbations écologiques. Avec la croissance des échanges internationaux, et tout particulièrement celle du transport maritime transocéanique, des problèmes apparaissent du fait de cet apport d'organismes vivants étrangers à l'environnement local. Désormais, des systèmes de traitement biologique et chimiques doivent traiter ces volumes d'eau, afin de limiter l'échange d'espèces invasives.
Méthode consistant à estimer le droit d'entrée maximal que les visiteurs d'un site seraient prêts à payer pour continuer à visiter ce site. Elle repose sur l'idée que les dépenses de transport engagées par les individus pour se rendre dans un site constituent leur consentement à payer pour visiter ce site. Le coût de déplacement est une mesure de l'unité de visite.
Ensemble des services et activités ayant une influence significative sur l'état des eaux. Les services liés à l'utilisation de l'eau sont des utilisations de l'eau caractérisées par l'existence d'ouvrages de prélèvement, de stockage, de traitement ou de rejet.
Action d'utilisation de l'eau par l'homme (usages eau potable, industriel, agricole, loisirs, culturel,...).
Ouvrage hydraulique alimenté par prélèvement d'eau des cours d'eau ou plans d'eau et principalement destiné à la navigation, le drainage, l'irrigation ou la régulation des débits.
Lieu où les navires peuvent s'approcher de la côte et accoster pour y décharger leurs produits et/ou leurs passagers. Il existe des ports naturels, mais dans la majorité des cas le site d'un port a été aménagé.
Abri naturel ou artificiel pour les navires, muni des ouvrages et installations nécessaires à l'embarquement et au débarquement des passagers ou des marchandises, et le cas échéant de bien d'autres installations associées au trafic maritime (stockage, entretien, réparations, etc.)
Paramètre biologique mesurable, indicateur d'un processus biologique et pouvant mettre en évidence l'exposition ou les effets d'un contaminant. Les biomarqueurs sont utilisés pour établir des diagnostics environnementaux ou sanitaires.
Processus biologique par lequel l'eau présente dans la nature (dans les rivières, les milieux humides, les lacs...) se nettoie elle-même lorsque la quantité de matières polluantes qui y est rejetée n'est pas trop importante. L'autoépuration est le résultat de l'activité des organismes vivant dans l'eau.
Bassin d'orage destiné à retenir la pollution des premières eaux lors d'épisodes de fortes pluies.
Action de pollution de l'eau, dégradant ainsi ses qualités intrinsèques, perturbant la vie aquatique et rendant son utilisation dangereuse pour l'homme et les animaux. Une contamination résulte de la présence de polluants en quantité suffisante pour qu'ils puissent être nocifs.
Convention internationale signée en 1972, visant la prévention de la pollution marine par les opérations d'immersions de déchets en mer effectuées par les navires et les aéronefs. La Commission d'Oslo était chargée d'administrer la Convention d'Oslo ; à partir de 1992, elle est réunie avec la Commission de Paris sous une même
Ensemble des échanges et des transformations de l'azote sous ses différentes formes dans l'atmosphère, la lithosphère, l'hydrosphère et la biosphère (diazote, nitrate, nitrite, ammoniaque, azote organique).
Action visant à extraire ou détruire tout ou partie des polluants présents dans un sol. Les techniques de réhabilitation des sols pollués sont classés en quatre catégories : traitements physiques, traitements chimiques, traitements biologiques et traitements thermiques.
Amincissement de la couche arable d'un champ sous l'effet des forces érosives naturelles de l'eau et du vent, ou sous l'effet des activités agricoles, comme le travail du sol. L'érosion du sol abaisse la productivité de la terre et contribue à la pollution des cours d'eau, des terres humides et des lacs adjacents.
Apport de matières (engrais) visant à maintenir ou à augmenter la fertilité d'un sol.
Ensemble des techniques concernant l'apport de matières destinées à maintenir ou à augmenter la fertilité d'un sol. On distingue habituellement les amendements, minéraux basiques et organiques, qui exercent une action sur les propriétés physiques, chimiques et biologiques du sol, et les engrais, destinés à améliorer l'alimentation des cultures et renfermant des éléments nutritifs majeurs (azote, phosphore, potassium), secondaires (soufre, magnésium, calcium et sodium) et mineurs (ou micro- ou oligoéléments).
Pesticide utilisé pour contrôler, repousser ou détruire des champignons.
Produit chimique utilisé pour détruire des végétaux. Il est dit sélectif s'il détruit seulement un type de végétal et total s'il détruit toutes sortes de végétaux.
Organisme constitué par une association symbiotique entre un champignon (qui apporte eau et sels minéraux) et une algue (qui fabrique, par photosynthèse, différents composés organiques qu'elle cède en partie au champignon). Les lichens sont capables de résister à des conditions climatiques extrêmes et sont capables d'accumuler des composés minéraux bien au-delà de leurs besoins propres. De ce fait, ils sont souvent utilisés comme
Mélange d'excréments d'animaux d'élevage contenant une grande quantité d'eau, conservé dans des fosses couvertes pour servir ensuite d'engrais.
Pollution issue d'un usage agricole. On distingue deux types de pollutions agricoles : des pollutions ponctuelles, qui peuvent être la conséquence soit de manipulations accidentelles des produits soit de pollutions dues aux bâtiments d'élevage ; des pollutions diffuses, qui proviennent de mauvaises pratiques de fertilisation ou de traitements phytosanitaires excessifs. Une pollution agricole peut également provenir d'une mauvaise gestion des terres et d'un aménagement de l'espace et des parcelles ne permettant plus de limiter l'érosion ou les transferts de polluants à l'échelle du bassin versant.
Contamination de l'environnement par un agent chimique, physique ou biologique qui modifie les caractéristiques naturelles de l'atmosphère. Par exemple, les appareils utilisés pour la combustion au sein des foyers, les véhicules automobiles, les établissements industriels et les feux de forêt sont des sources fréquentes de pollution atmosphérique.